• J'ai l'immense joie, de vous faire part, de la naissance de ANIMALOUS !

    Mais qu'est-ce donc, me direz-vous? cliquez sur l'image, et vous verrez!

    Animalous

    Merci à tou(tes)(s), par avance, pour vos commentaires, sur ce nouvel endroit qui me tient trés à coeur... et qui explique un peu mon absence de ces derniers jours...

    Encore des travaux, mais j'attends vos avis, pour améliorer (lol)

     


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  • Débranchez vos appareils électriques, et économisez jusqu'à 100 €!

    Je le fais depuis plus d'un an, et c'est vrai ; j'ai économisé 100€ sur ma consommation annuelle d'électricité.. Et de nos jours, c'est pas rien!

    J'ai installé des multiprises, et tous les soirs, j’éteins tout, télévision, ordinateur.

    Celle de la machine à laver le linge et du lave-vaisselle, me permet d'éteindre l'appareil, dés que le cycle est terminé.

    Débranchez vos appareils électriques

    Le soir, quand je regarde la télévision, je n'allume pas de lampe, car j'ai assez de lumière avec l'écran.

    Mais j'ai beau répéter ces conseils à mes enfants, ils pensent que maman radote, bref....

    Selon la deuxième édition du baromètre AFP-Powermetrix publiée mercredi 10 juillet, les appareils en veille représentent 11% de la facture d'électricité des Français, soit 86 euros par foyer. Près de 2 milliards d'euros au total chaque année, précise le baromètre.

    Télévisions, consoles de jeu, box internet, lecteurs DVD en veille, chargeurs de téléphone laissés dans des prises... Leur consommation correspond "à 7 à 8 ampoules nouvelle génération laissées allumées 365 jours par an et 24 heures sur 24 dans chacun des foyers français", selon l'étude.

    Débranchez vos appareils électriques

    L'équivalent de deux réacteurs nucléaires

    Éteindre la lumière en quittant une pièce est un geste de sobriété désormais bien connu. Mais l'importance de la "consommation passive", en pleine nuit ou quand le logement est vide par exemple, est beaucoup moins visible.


    Cette consommation représente pourtant une puissance électrique totale mobilisée en permanence de 82 watts par foyer en France, soit quelque 2.300 mégawatts à l'échelle nationale, "encore plus que la production de deux réacteurs nucléaires" d'EDF. Toute cette consommation n'est pas forcément de la gabegie, nuance toutefois Luc Terral, le codirigeant de Wattgo, la start-up qui réalise le baromètre.

    "On a choisi une définition assez large, ce qu'on mesure, c'est tout ce qui reste branché et qui consomme sans qu'on le demande", poursuit Luc Terral.
    Le comportement, facteur décisif

    Débranchez vos appareils électriques


    Une partie (environ 400 mégawatts) vient par exemple de la ventilation mécanique contrôlée, des extracteurs d'air visant à aérer les pièces humides (salles de bains, cuisines, toilettes) et qui est obligatoire dans les constructions récentes, ou encore de réfrigérateurs en phase passive. Mais la plupart du temps, le comportement du consommateur est le facteur déterminant.


    "Ce qu'on a voulu décrire, c'est ce que coûte la veille dans le foyer en fin d'année, et c'est effectivement très lié au confort avec des matériels qui restent toujours branchés", ajoute-t-il.


    La consommation de veille est en moyenne de 64 watts pour un foyer d'une personne, de 82 watts pour deux personnes et de 99 watts pour trois personnes ou plus, pour une facture annuelle d'environ un euro par watt de veille, selon le baromètre AFP-Powermetrix.

    Article tiré du nouvel observateur....

    Débranchez vos appareils électriques

     

    Pour les calculs, je ne sais pas, et ces experts en la matière, sont mieux placés que moi.

    Par contre l'économie engendrée, là j'en suis sure, et je le conseille à tout le monde.

    En ce moment, on entend aussi beaucoup parler des magasins éclairés toute la nuit... Il y a des réverbères pour la sécurité, et je suis certaine que les dispositifs d'alarme, peuvent fonctionner sans lumière....

     

    Débranchez vos appareils électriques

     


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  • Les chanteurs d'aujourd'hui, sont parfois mignons et ont parfois un beau filet de voix, mais aucun n'attendra la perfection d'Elvis Presley... ni ses beaux yeux!

    Elvis Presley

     

    8 chansons de légende


    Juillet 1973. Elvis Presley pénétre les mythiques studios Stax de Memphis pour enregistrer ses plus grand titres. Des studios où il reviendra une deuxième fois, en décembre 1973.

    40 ans plus tard, alors qu'est réédité un coffret réunissant ses 28 titres, Marc Bertin, chroniqueur musique, revient sur cet enregistrement, en partenariat avec Legacy.

    10 décembre 1973, premier soir des deuxièmes sessions d’enregistrement réservées aux studios Stax de Memphis, Tennessee. Spectateur assidu du programme "Monday Night Football", Elvis y fait livrer des téléviseurs grand écran. Et, comme il est temps de dîner, Sa Majesté commande 300 hamburgers, dégustés sur les cartons d’emballage. Les restes du festin régaleront les gamins du quartier.
    Plus d'un milliard de spectateurs

    1973, année mouvementée, s’il en fut, dans un destin pourtant fort pourvu en la matière… Le 14 janvier, à 12h30, sur la scène du Honolulu International Arena, l’enfant de Tupelo, Mississippi, livre une prestation devant un public estimé à un milliard et demi de spectateurs ; 30 chansons gravées pour l’histoire dans un double album "Aloha from Hawaii via satellite".

     

    Elvis Presley


    Quelques mois plus tard, en octobre, le divorce avec Priscilla, qui l’avait quitté pour Mike Stone (son professeur de karaté), est enfin prononcé. Le couple était séparé depuis trois ans déjà. Splendeur et misère cristallisées en une espèce de clin d’œil à l’ironie mordante. Ce qui, en somme, pose Elvis Aaron Presley comme l’artiste de tous les superlatifs.

    1973, Hollywood et les 31 films appartiennent au passé, car depuis le "’68 Comeback Special" diffusé sur NBC, Elvis a repris sa couronne ainsi que la route. Et si le performer irradie Las Vegas, le chanteur n’en oublie pas son métier, l’inexplicable frisson des répétitions en groupe avant que ne tourne la bande. Il lui faut donc du matériel.

    Une vie perso chaotique mais toujours aux studios
    En outre, au milieu des turbulences domestiques (l’état de santé vacillant, les addictions, la garde alternée de Lisa Marie, la ronde des conquêtes, la pression de cette canaille de colonel Parker…), il ressent la nécessité d’évoluer à la maison. Après tout, entré dans la carrière chez Sun Records en 1954, c’est encore à domicile, que le triomphal "From Elvis in Memphis" fut conçu dans le cocon d’American Studios en 1969.

    Aussi, naturellement, le choix se porte sur Stax, maison soul fondée en 1958, dont les étoiles ont pour noms Rufus Thomas, Wilson Pickett, Sam & Dave, Booker T. & The MG’s, Albert King, Johnnie Taylor, Eddie Floyd ou le champion toutes catégories de l’écurie : Otis Redding.

    Pourtant, lors de la première session d’enregistrement, du 21 au 25 juillet, les musiciens du label, orfèvres de cet inimitable Memphis Sound à des lieux de la joliesse polie Motown, se montrent trop intimidés par l’aura du reclus de Graceland. À tel point que ce dernier vient poser sa voix sur les pistes instrumentales sans jamais croiser âme qui vive.
    Le résultat : six ébauches nullement satisfaisantes.

    Elvis dort le jour, enregistre la nuit
    Donc, retour en décembre, du 10 au 16, cette fois-ci en compagnie de son orchestre de tournée et d’une poignée d’accointances madrées venues de Nashville, notamment James Burton et Norbert Putnam. L’objectif : mettre en boîte 18 titres en une semaine.

    La légende voudrait que Isaac Hayes, pourtant au sommet de la gloire, décalât sa réservation… Le répertoire, choisi avec soin, est éclectique au possible : Chuck Berry, Waylon Jennings, Bert Kaempfert, Larry Gatlin, Tony Joe White et même Claude François ! Le rituel, lui, demeure immuable : 3 à 5 chansons par nuit car, désormais, la journée, Elvis dort.

     

    Elvis Presley


    Sans oublier une poignée de ballades capturées dans la résidence de Palm Springs, Elvis se retrouve avec une trentaine de chansons, suffisamment pour remplir au bas mot deux albums. Toutefois, RCA, sa maison de disque, décide d’en éditer trois : "Raised on Rock" (1973), "Good Times" (1974) puis "Promised Land" (1975).
    Une espèce d’hérésie quand on prend conscience — certes rétrospectivement — du rythme infernal des sorties durant la décennie 1970, dominée par une quantité hallucinante de live.

    Surtout, ces enregistrements, les ultimes d’une telle qualité, où la voix du Caruso hilbilly fait comme rarement corps avec un groupe aussi souple dans la country que dans le rock et la soul, démontrent la plénitude de leur interprète (qui, pour l’anecdote fit les prises de "Help Me" à genoux, en posture de suppliant s’adressant au Seigneur), alors âgé de 38 ans. À tel point qu’entre 1973 et 1975 pas moins de 6 singles se classèrent dans le Top 40 : "Raised on rock", "I’ve got a thing about you baby", "Promised Land", "If you talk in your sleep", "My Boy" et "Mr. Songman".

    2013, l’outrage est enfin réparé : présentés chronologiquement, les 28 masters (et les 27 prises alternatives) redonnent l’exacte cohérence d’un moment de grâce, véritable de chant du cygne avant les adieux définitifs au music-hall le 16 août 1977.

    Article tiré du nouvel observateur

     


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