• Le choix du prénom est toujours un moment délicat pour les futurs parents. Pour éviter le casse-tête, ils peuvent compter sur la nouvelle édition de l'Officiel des prénoms et de son célèbre classement, qui sort jeudi. Tiré de http://www.directmatin.fr

    Ainsi, selon les prévisions de cette nouvelle édition, l'année 2013 sera plutôt semblable à 2012.

    Prénoms préférés des français

     Ma EMMA dont nous fêtons l'anniversaire aujourd'hui...puisque la vraie date, le 19, j'étais hospitalisée...

    Du côté des petites filles, Emma conserve la tête du classement pour la neuvième année consécutive. Suivent Lola, Chloé et Inès . L'auteur de l'Officiel des prénoms, Stéphanie Rapoport explique au Parisien que les prénoms courts et/ou en A sont plébiscités. Elle évoque également le phénomène des prénoms anciens, comme Louise.

    Prénoms préférés des français

    Ma LEA, la petite soeur d'Emma....

    Du côté des garçons, Nathan s'impose pour la deuxième année consécutive, suivi de Lucas, Léo, Enzo et Louis. Stéphanie Rapoport souligne que les prénoms tirés de l'ancien testament ont de plus en la cote, comme Adam.

    Le top 20 des prénoms de fille : Emma (mon avant-avant dernière petite-fille), Lola, Chloé, Inès (ma premièe petite-fille), Léa (ma dernière petite-fille), Jade, Manon, Louise, Zoé, Lilou, Léna, Sarah, Camille, Maëlys, Lina, Eva, Louna, Clara, Alice et Romane.

    Le top 20 des prénoms de garçon : Nathan, Lucas, Léo, Enzo, Louis, Gabriel, Jules, Timéo, Hugo, Arthur, Ethan, Raphaël, Maël, Tom, Noah, Mathis, Théo, Adam, Nolan et Clément.

    Prénoms préférés des français

    Ma YNESS, avec sa mamie (une photo d'Ajaccio)

     

     


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  • Robert 2013

     

    Pour ce nouveau cru, le Petit Robert 2013, dirigé par Alain Rey, recense 300 nouveaux mots et expressions, des plus familières aux moins courantes.

    "Pipeauter","psychoter", "comater" et finir par "subclaquer"...

    A commencer par les mots de "jeun’z", comme on les surnomme, souvent créatifs dans leur usage de la langue et très fiers de pouvoir répondre à leurs parents que leur argot existe dans le dico ! Selon Le Parisien, les verbes "comater" (être dans un état de somnolence), "pipeauter" (baratiner) ou "psychoter" (avoir peur), mais aussi des termes encore plus jargonneux comme "marrade" (rigolade), "subclaquant" (qui est à l’agonie) et "gloups" (interjection exprimant l’étonnement) sont désormais reconnus et admis comme vocabulaire officiel de la langue française.

    Mater un "biopic" "oscarisé" en twittant "lol" sur son "netbook"...

    Dans un registre plus soutenu mais tout aussi moderne, les anglicismes informatiques, téléphoniques et cinématographiques s’imposent depuis une bonne dizaine d’années dans le langage quotidien et officiel. Quelques exemples : le "notebook" et le "netbook", petits ordinateurs portables, le "biopic", film biographique, "oscariser", mais aussi le "lol" tant attendu des langages SMS, qui signifie "laughing out loud" (éclater de rire).

    Décryptage de l'actualité

    Dans les colonnes plus érudites du Robert, apparaissent des mots techniques créés et ou liés à l'actualité de l'année passée comme "corium" (magma hautement radioactif), "liquidateur" (technicien chargé d’intervenir sur un site nucléaire après un accident) ou encore "parc éolien", "gaz de schiste", "agence de notation", "dette souveraine" et "Indignés"... Tous ces mots que l'on entend à longueur de journée et dont on ne connaît pas toujours l'origine ou parfois même la signification. 

    Créées en 1951 par Paul Robert, les éditions Le Robert éditent le Petit Robert depuis 1967, et répondent au souci démocratique de leur conseiller éditorial Alain Rey pour qui il a toujours été essentiel, déclare-t-il au Parisien, de "faire bouger le modèle académique" afin d'explorer la langue française dans ses moindres richesses et diversités.

     

    Je ne sais ce qu vous en pensez, mais moi qui suit trés attachée à la langue française, comme on me l'a enseigné au bahut, je fait des bonds dans mon cerveau.

    On avance rapidement vers un monde où l'écriture ne sera plus qu'un cumul de son orthographiés au minimum...

    j'espère que je ne serai plus là pour voir ça (lol).


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  • Fauvisme

    Et oui, aujour'hui, on attaque la culture, la peinture, le fauvisme....

    Le précurseur de ce courant était Henri Matisse (1869 - 1954) ; autres grands artistes : Maurice de Vlaminck (1876 - 1958), André Derain (1880 - 1954) et encore Georges Braque (1882 - 1963).
    Le fauvisme est un courant de peinture du début du XXe siècle. Tiré d'une expression du journaliste Louis Vauxcelles, il débuta historiquement à l'automne 1905, lors du Salon d'automne qui créa scandale, pour s'achever moins de dix ans plus tard, au début des années 1910.

    En fait, dès 1908, il est déjà à son crépuscule. Son influence marqua néanmoins tout l'art du XXe siècle, notamment par la libération de la couleur. Le précurseur du fauvisme était Henri Matisse, mais d'autres artistes, comme André Derain, Maurice de Vlaminck ou encore Georges Braque en ont fait partie.

    Fauvisme

    J'adore la couleur, et je trouve qu'elle me permet de mieux voir les effets, les reliefs ; je suis un peu mirote à cause de ma rétinopathie du diabétique... tout s'explique (lol)


    Dans un article "le Salon d'automne" publié dans le Gil blas le 17 octobre 1905, Vauxcelles décrit le salon salle par salle. Il écrit notamment "Salle N°VII MM. Henri Matisse, Marquet, Manguin, Camoin, Girieud, Derain, Ramon Pichot. Salle archi-claire, des oseurs, des outranciers, de qui il faut déchiffrer les intentions, en laissant aux malins et aux sots le droit de rire, critique trop aisée.Au centre de la salle, un torse d'enfant et un petit buste en marbre, d'Albert Marque, qui modèle avec une science délicate. La candeur de ces bustes surprend au milieu de l'orgie des tons purs : Donatello chez les fauves".

    Le fauvisme est caractérisé par l'audace et la nouveauté de ses recherches chromatiques. Les peintres avaient recours à de larges aplats de couleurs violentes, pures et vives, et revendiquaient un art fondé sur l'instinct. Ils séparaient la couleur de sa référence à l'objet afin d'accentuer l'expression et réagissaient de manière provocatrice contre les sensations visuelles et la douceur de l'impressionnisme.

     

    Allez, aprés ce bol d'informations, c'est l'heure de la récréation.... et vous pouvez sortir!

    Fauvisme

     


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