• EXPRESSION

    EXPRESSION

  • je veux de l'amour!

    Assez de cette violence qui nous déchire le cœur,

    Assez de cette défiance qui ne sert qu'à certains,

    Assez de cette peur qui nous mine et nous sépare,

    Assez de ce monde sans "co....es" qui subit!

    Peuple français, c'est bien beau de chanter la Marseillaise, mais encore faut-il y croire!

     

    Amour!

     

     


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    Expession poétisée en 9 pieds

     

    Nous voilà à l'an nouveau, de peu.

    Il pousse à la réflexion :

    Parviendrai-je à jouer le jeu?

    c'est là, ma première question.

    A l'horizon, quelques mois frileux;

    Je calcule, fais attention...

    Aurai-je tout le bois pour le feu?

     

    Frileux en 9 pieds

     


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  • Bonjour les blogpotes !
     
    J'ai regardé, hier au soir, mon émission préférée, présentée par Laurent Ruquier qui recevait Boris Cyrulnik, l'homme qui m'a interpellé, étonnée, surprise et surtout fait prendre conscience de beaucoup de chosesK.
    Né le 26 juillet 1937 à Bordeaux. neurologue, psychiatre, éthologue et psychanalyste français, il nous  présente son nouveau roman Sauve-toi, la vie t'appelle aux éditions Odile Jacob.
    Boris Cyrulnik

    Responsable d'un groupe de recherche en éthologie clinique à l'hôpital de Toulon et enseignant l'éthologie humaine à l'université du Sud-Toulon-Var, Boris Cyrulnik est surtout connu pour avoir développé en France, le concept de « résilience » (renaître de sa souffrance).
    Boris Cyrulnik voit d'abord l'éthologie comme « un carrefour de disciplines ».

    Il est membre du comité d'honneur de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD).
    Né dans une famille d'immigrés juifs d'Europe Centrale et Orientale (son père était Russo-Ukrainien et sa mère Polonaise) arrivés en France dans les années 30. 
    Durant l'Occupation, ses parents le confient à une pension pour lui éviter d'être arrêté par les nazis, pension qui le placera ensuite à l'Assistance publique. Il y est recueilli par une institutrice bordelaise, Marguerite Farge, qui le cache chez elle. Mais, en 1943, au cours d'une rafle, il est regroupé avec d'autres Juifs, dont beaucoup d'enfants, à la grande synagogue de Bordeaux. Il parvient à se cacher dans les toilettes, évitant le sort des autres raflés, emmenés vers la gare Saint-Jean pour y être déportés. Il se faufile hors de la synagogue, et une infirmière le cache dans une camionnette (qu'il prend alors pour une ambulance). Il est ensuite pris en charge et caché par un réseau, puis placé comme garçon de ferme, sous le nom de Jean Laborde, jusqu'à la Libération. Ses parents, eux, mourront en déportation. Il est recueilli à Paris par une tante, Dora, qui l'élèvera. Cette expérience personnelle traumatisante le poussera à devenir psychiatre.

    Boris Cyrulnik

     
    Une fois, ce sage homme défini, je peux vous dire tout ce qui m'est passé par la tête, en l'écoutant...
    Tout d'abord, j'ai eu une prise de conscience concernant les discussions que je peux avoir, avec toute sorte d'interlocuteur... Aviez-vous remarqué la façon, dont la personne en face vous regarde quand vous parlez? Il acquiesse, ou bien détourne son regard, ou mieux encore, vous coupe la parole... Le ressenti, à ce moment là, instinctivement, nous fait, soit changer de conversation, soit se taire... Ceci m'amène à découvrir pourquoi la communication  est si difficile par le langage.
     
    S'apercevoir de ne pas être entendu et surtout pas écouté, provoque une blessure. On se dit, la prochaine fois je me taierai... Mais selon la force d'empathe qui nous fait face, on a du mal à se maitriser et j'avoue que je me laisse facilement emporter et je replonge dans mes messages verbaux qui, je le sais, ne seront même pas enregistrés ou seulement, au mieux, une infime partie... Alors que faire ? Apprendre à parler à un auditoire?... ou susciter une véritable empathie.
     
    Et bien, il y a du boulot pour moi, car je me considère comme quelqu'un de plutôt simple, et s'il me faut réfléchir pour m'adresser à quelqu'un, je préfère me taire.
    La seule solution immédiate, c'est de continuer à écrire, blog, site messagerie, et puis enfin continuer le livre que j'ai commencer, voilà plusieurs années et que je ne parviens pas à terminer, peut-être pour cette raison...
    Ma conclusion provisoire, est que nous avons perdu la qualité d'empathie. Plus personne ou trés peu, savent s'imaginer dans la situation de l'autre. Notre société a perdu ses valeurs morales, son éducation primaire, les bonjours, les merci, les s'il-vous-plait, la galanterie, et bien d'autres choses qui faisait le squelette du respect de chacun....
     
    L'empathie, c'est savoir écouter, entendre et comprendre que l'autre, n'a pas la même façon d'interpréter la même chose que nous et de l'accepter....
    Un ou une daltonienne, interprète la couleur différemment.... et comme sur l'exemple, ci-dessous, chacun voit l'objet de son point de vue. C'est un six pour l'un et un neuf pour l'autre, et ils ont raison tous les deux, alors pourquoi se disputer?
    Re-apprenons à nous aimer !

    Boris Cyrulnik

    Au plaisir de vous lire nombreux sur ma réflexion du moment....

     

     


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