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Par Libre 11 le 12 Février 2014 à 16:42
Rock Voisine, je resterai là....
A l'approche de la Saint Valentin, la mélancolie me gagne et je voudrais tant que LUI me dise....
Je dormirai
Je dormirai là
Sous ces drapeaux qui marchent au dernier combat
Près de ta porte
Le souffle si bas
Que le diable nous emporte
Je resterai là près de toi
Je resterai aux cloches qui sonnent
Ton dernier rempart à la folie des hommes
Pas par honneur
Devoir ou bravoure
J'inventerai nos heures au nom de l'amour
Quand la nuit viendra je dormirai là
Prisonnier des soupirs que tu voudras
Quand tout s'en ira, je resterai là
J'attendrai, j'attendrai le temps qu'il faudra
Je dormirai
Comme un soir de Noël
A rêver d'être le premier au réveil
Le premier reflet dans ton oeil
Jusqu'au dernier danger
Ta route immortelle
Quand la nuit viendra je dormirai là
Prisonnier des soupirs que tu voudras
Quand tout s'en ira je resterai là
J'attendrai, j'attendrai le temps qu'il faudra
Quand ils seront là j'ouvrirai mes bras
Si puissants que tout s'évanouira
Je dormirai là, je resterai là
J'attendrai, j'attendrai le temps qu'il faudra
(musique)
Quand la nuit viendra je dormirai là
Quand tout s'en ira, je resterai là
Je dormirai là, je resterai là
Quand la nuit viendra je dormirai là
Je resterai là
34 commentaires -
Par Libre 11 le 4 Décembre 2013 à 01:00
Pour le plaisir, à écouter....
Elles viennent au monde dans un cri de joie
Quelque chose a leur visage
Une emotion qui ne s'explique pas
Entre douceur et courage
Elles ont le monde a leurs pieds
Quelques fois pour un sourire qu'on attend pas
Elles sont prêtent a donner
Tout ce qu'on leur prendra
refrain:
Pour une idée pour un homme
Pour une terre qu'on abandonne
Une femme sait ouvrir son coeur
Comme un souffle un cri de guerre
Là où les autres pourrait se taire
Une femme parle avec son coeur
Elle defie le monde
Au ciel un idéal
Pour qu'a l'amour succombe
Les fleurs du mal
Au bord d'un fleuve au fond d'un vieux village
Elles s'agenouillent en prière
Comme un roseau se lance du fond d'un mareccage
Elles cherchent un peu de lumière
Elles attendent même ces rivières,
Ces montagnes, ou l'on trouve l'or parfois
Elles donnent sans compter
Ce que dieu leur rendra
Refrain:
Pour une idée pour un homme
Pour une terre qu'on abandonne
Une femme sait ouvrir son coeur
Comme un souffle un cri de guerre
Là où les autres pourrait se taire
Une femme parle avec son coeur
Elle refait le monde
Au feu d'un idéal
Pour qu'a l'amour succombe
Les fleurs du mal
Pour une idée pour un homme
Pour un enfant qu'on abandonne
Une femme sait pourquoi elle pleure
Comme un souffle un cri de guerre
Là où les autres desespèrent
Une femme parle avec son coeur
Une femme parle avec son coeur.....
Une femme ....
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Par Libre 11 le 13 Août 2013 à 00:00
Les chanteurs d'aujourd'hui, sont parfois mignons et ont parfois un beau filet de voix, mais aucun n'attendra la perfection d'Elvis Presley... ni ses beaux yeux!
8 chansons de légende
Juillet 1973. Elvis Presley pénétre les mythiques studios Stax de Memphis pour enregistrer ses plus grand titres. Des studios où il reviendra une deuxième fois, en décembre 1973.40 ans plus tard, alors qu'est réédité un coffret réunissant ses 28 titres, Marc Bertin, chroniqueur musique, revient sur cet enregistrement, en partenariat avec Legacy.
10 décembre 1973, premier soir des deuxièmes sessions d’enregistrement réservées aux studios Stax de Memphis, Tennessee. Spectateur assidu du programme "Monday Night Football", Elvis y fait livrer des téléviseurs grand écran. Et, comme il est temps de dîner, Sa Majesté commande 300 hamburgers, dégustés sur les cartons d’emballage. Les restes du festin régaleront les gamins du quartier.
Plus d'un milliard de spectateurs1973, année mouvementée, s’il en fut, dans un destin pourtant fort pourvu en la matière… Le 14 janvier, à 12h30, sur la scène du Honolulu International Arena, l’enfant de Tupelo, Mississippi, livre une prestation devant un public estimé à un milliard et demi de spectateurs ; 30 chansons gravées pour l’histoire dans un double album "Aloha from Hawaii via satellite".
Quelques mois plus tard, en octobre, le divorce avec Priscilla, qui l’avait quitté pour Mike Stone (son professeur de karaté), est enfin prononcé. Le couple était séparé depuis trois ans déjà. Splendeur et misère cristallisées en une espèce de clin d’œil à l’ironie mordante. Ce qui, en somme, pose Elvis Aaron Presley comme l’artiste de tous les superlatifs.1973, Hollywood et les 31 films appartiennent au passé, car depuis le "’68 Comeback Special" diffusé sur NBC, Elvis a repris sa couronne ainsi que la route. Et si le performer irradie Las Vegas, le chanteur n’en oublie pas son métier, l’inexplicable frisson des répétitions en groupe avant que ne tourne la bande. Il lui faut donc du matériel.
Une vie perso chaotique mais toujours aux studios
En outre, au milieu des turbulences domestiques (l’état de santé vacillant, les addictions, la garde alternée de Lisa Marie, la ronde des conquêtes, la pression de cette canaille de colonel Parker…), il ressent la nécessité d’évoluer à la maison. Après tout, entré dans la carrière chez Sun Records en 1954, c’est encore à domicile, que le triomphal "From Elvis in Memphis" fut conçu dans le cocon d’American Studios en 1969.Aussi, naturellement, le choix se porte sur Stax, maison soul fondée en 1958, dont les étoiles ont pour noms Rufus Thomas, Wilson Pickett, Sam & Dave, Booker T. & The MG’s, Albert King, Johnnie Taylor, Eddie Floyd ou le champion toutes catégories de l’écurie : Otis Redding.
Pourtant, lors de la première session d’enregistrement, du 21 au 25 juillet, les musiciens du label, orfèvres de cet inimitable Memphis Sound à des lieux de la joliesse polie Motown, se montrent trop intimidés par l’aura du reclus de Graceland. À tel point que ce dernier vient poser sa voix sur les pistes instrumentales sans jamais croiser âme qui vive.
Le résultat : six ébauches nullement satisfaisantes.Elvis dort le jour, enregistre la nuit
Donc, retour en décembre, du 10 au 16, cette fois-ci en compagnie de son orchestre de tournée et d’une poignée d’accointances madrées venues de Nashville, notamment James Burton et Norbert Putnam. L’objectif : mettre en boîte 18 titres en une semaine.La légende voudrait que Isaac Hayes, pourtant au sommet de la gloire, décalât sa réservation… Le répertoire, choisi avec soin, est éclectique au possible : Chuck Berry, Waylon Jennings, Bert Kaempfert, Larry Gatlin, Tony Joe White et même Claude François ! Le rituel, lui, demeure immuable : 3 à 5 chansons par nuit car, désormais, la journée, Elvis dort.
Sans oublier une poignée de ballades capturées dans la résidence de Palm Springs, Elvis se retrouve avec une trentaine de chansons, suffisamment pour remplir au bas mot deux albums. Toutefois, RCA, sa maison de disque, décide d’en éditer trois : "Raised on Rock" (1973), "Good Times" (1974) puis "Promised Land" (1975).
Une espèce d’hérésie quand on prend conscience — certes rétrospectivement — du rythme infernal des sorties durant la décennie 1970, dominée par une quantité hallucinante de live.Surtout, ces enregistrements, les ultimes d’une telle qualité, où la voix du Caruso hilbilly fait comme rarement corps avec un groupe aussi souple dans la country que dans le rock et la soul, démontrent la plénitude de leur interprète (qui, pour l’anecdote fit les prises de "Help Me" à genoux, en posture de suppliant s’adressant au Seigneur), alors âgé de 38 ans. À tel point qu’entre 1973 et 1975 pas moins de 6 singles se classèrent dans le Top 40 : "Raised on rock", "I’ve got a thing about you baby", "Promised Land", "If you talk in your sleep", "My Boy" et "Mr. Songman".
2013, l’outrage est enfin réparé : présentés chronologiquement, les 28 masters (et les 27 prises alternatives) redonnent l’exacte cohérence d’un moment de grâce, véritable de chant du cygne avant les adieux définitifs au music-hall le 16 août 1977.
Article tiré du nouvel observateur
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