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    Poème d'un instant, entre deux saison....

    Je cherche le moment

    Etre là, sans vouloir l'être,

    Envie de partir, sans pouvoir,

    que ne puis-je là, paraitre

    Seulement à mon bon vouloir?

     

    Je cherche le moment

    Le matin lève prometteur

    Mon envie de concrétiser

    Enfin, mes voeux de grand bonheur.

    Mais le soir, je m'endors lassée...

    Je cherche le moment

     

    Demain revient et je crois

    En ce nouveau jour plein d'espoir ;

    La journée passe dans le froid,

    d'un coeur qui ne parvient à voir.

    Je cherche le moment

     

    Je sais que chaque jour passe

    Avec son lot d'évènement,

    Mais je voudrai qu'un jour fasse

    De ses heures, LE grand moment.

     

    Je cherche le moment

     


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    Un poème aux rimes irégulières, un besoin de dire quelque chose ; je fais vibrer le timbre de ma révolte... Les médias nous poussent à la guerre, alors qu'il suffirait juste de pouvoir discuter... avec Normal 1er!

     

    Savoir vivre, comme libre,

    Savoir faire et mots dire,

    Savoir qu'on peut vivre pire,

    Savoir et crier du timbre!

     

    La révolte gronde en nous,

    Mais qui saura agir, ce jour?

    Mais de quel éther venons-nous

    Pour ne plus être dans l'amour...

     

    La France en total cahos,

    Ne sait plus qui elle a été.

    Son peuple désorienté,

    cherche en vain son beau drapeau...

     

    L'auteur, c'est moi, bien sur...

     

     

     

     


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    S'attacher au combat contre un autre soi-même,
    Attaquer un parti qui prend pour défenseur
    Le frère d'une femme et l'amant d'une sœur,
    Et rompant tous ces nœuds, s'armer pour la patrie
    Contre un sang qu'on voudrait racheter de sa vie,
    Une telle vertu n'appartenait qu'à nous ;
    L'éclat de son grand nom lui fait peu de jaloux...


    Un acrostiche tiré d'Horace de Corneille....
    ... et le mien, tiré de mon ressenti de ce jour :


    Fébrile tu me rends, par la rigueur de tes températures,
    Ronchon, je suis, de ne pouvoir sortir à ma guise, et ça dure.
    Ô rage, Ô désespoir, douce chaleur reviendras-tu me baigner de ta tièdeur?
    Ignorant mon appel, sans honte, tu te caches, et me laisse grelotter, non de peur,
    De froid ! les lèvres gercées, mes mains crispées, pourtant croisées en prière ....

     

     


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